il s’en est passé du temps depuis notre premier cour avec Jenkins à Genève. Je vous écris ce soir pour vous informer que mon ami pour la vie s’est endormi paisiblement après une dure maladie qu’il a affrontée avec le courage qui l’a toujours caractérisé et sans se plaindre une seule fois. Je tiens à vous renouveler mes remerciements les plus sincères car, malgré le fort caractère de Jenkins, vous m’avez appris à communiquer ensemble et à l’aimer comme un membre de la famille. Ce soir un grand vide réside dans mon cœur mais les 11 années passées resteront à jamais gravées. Ma fille Lisa m’a dit spontanément » papa, moi je sais que Jenkins fait un grand dodo et qu’il joue avec la lune et les nuages… » Bonne continuation Marc et à bientôt peut-être…on ne sait jamais dans la vie. Mes salutations les meilleures. Sandro
En effet un grand vide difficile à combler avec un tel compagnon.
